Vendredi 25 août 5 25 /08 /Août 23:06
17 heures, un début de soirée tranquille.
Je suis rentré tôt du travail et j'ai pris le temps d'un long bain chaud qui détend en ambiance jazz et lumières tamisées en cette nuit d'hiver débutante.
Une grande envie de féminité ce soir, à ma mesure car disponible, alors, une longue préparation intime aussi, qui-sait...
Rasage soigné du visage, tondeuse à 3 mm des cheveux, peeling, crème, anti-cerne, parfum, déodorant, soins des ongles des pieds et des mains, ni vernis, ni maquillage, à regret.
Je vais choisir par contre, avec un plaisir non dissimulé, ma tenue de cette soirée: du rose, surtout pour profiter de cette jolie paire de sandales, achetée sur le Boncoin et reçue il y quelques jours, non encore essayée et que j'ai hâte de porter.
Assis au bord de mon lit, je déroule sur mes jambes, puis mes cuisses (les deux hélas poilues, brrr...), une paire de bas noir Clio sans couture, enroule autour de ma taille un porte-jarretelle rose Aubade,fixe les bas puis fais glisser le string assorti jusqu'à sentir la ficelle rentrer entre mes fesses, quelle douce sensation et y mets à sa place ma verge mole pour qu'elle y disparaisse au mieux.Puis, je crochète dans mon dos le soutien-gorge assorti sur mes tétons déjà tendus qui rêvent d'être des seins et ne le seront jamais... J'enfile enfin un ensemble nuisette de dentelle noire et un kimono rose qui n'ont rien à voir ensemble, mais le contraste va bien ensemble.
Ouvrant enfin, la boite à chaussures, j'en extrais mes nouvelles sandales, les fais glisser sur les bas et les positionne au mieux en serrant au maximum les brides sur mes chevilles. J'ai du mal à les mettre en place et je comprends vite pourquoi ma vendeuse s'en est débarrassée, ils sont mal conçus car le pied et les orteils ne sont pas dans l'axe de la chaussure, ils ne prennent pas leur place comme dans
des chaussures de qualité. Dommage et tant pis, il va falloir faire avec !
Je me lève et me rends immédiatement compte, que lié à leur imperfection, les 12 cm de talons m'envoie vers l'avant et me gênent dans ma démarche.
Je me dirige vers la cuisine pour me servir un verre de vin blanc et j'avoue que pour un habitué des talons hauts, ce n'est pas le véritable plaisir que j'attendais...
Néanmoins, le simple fait de déambuler chez moi en femme, le claquement de ces nouvelles sandales à talons rose sur le carrelage, à défaut de l'être comme je le voudrais et le pourrais, il ne suffirait à la fois de peu et de tant à la fois, l'éternel dilemme, me rends euphorique !
Après m'être connecté sur mes sites habituels et allumé une cigarette, je me laissais enfin envahir par l'excitante sensation de la promesse des échanges à venir, avec, au pire une agréable soirée virtuelle mais, avec néanmoins ce désir profond de rencontrer l'âme sœur de Michèle...
Comme d'habitude, il y eu de tout, du bref trivial jusqu'au long virtuel agréable jusqu'à ce beau et soutenu dialogue avec Marc, très tardif comme toujours dans ces cas là, mais qui sortait de l'ordinaire.
60 ans, bel homme séduisant, artiste un brun désespéré, sortant d'un terrible chagrin d'amour hétéro et en même temps, nostalgique d'une belle expérience avec un travesti Brésilien. 
De beaux échanges de qualité, sans illusion sur ses besoins d'homme en manque exprimés avec naturel et sincérité, très inquiet puis enfin rassuré sur la discrétion et la confidentialité, j'étais sous le charme de ce qu'il était et de ses mots, séduit, envie de le rencontrer et lui aussi.Et puis, il faut l'avouer, nous habitions à quinze minutes l'un de l'autre et il pouvait me recevoir discrètement, alors je n'hésitais pas.
Dans ma chambre, je ne quittais que ma nuisette, mon kimono et mes chaussures et enfilais mes vêtements d'homme sur ma lingerie. A 22 heure, je ne risquais pas grand chose en allant au village d'à coté !
Un passage rapide dans la salle-de-bains et j'étais dans la voiture puis vite déjà garé devant chez lui.La porte était ouverte sur une petite maison d'un village désert à cette heure, un accueil élégant  par un bel homme, grand et mince, grisonnant, brièvement entrevu car, comme entendu, il m'indiqua la chambre où me préparer afin de me voir le moins longtemps possible en homme.Pendant que je me déshabillais dans un très bel endroit meublé avec gout, un voile cocon au-dessus du lit, une lumière tamisée, des senteurs de fleurs, j'entendais une jolie musique en sourdine. J'étais très à l'aise et me revêtais sereinement des mêmes atouts que chez moi, puis dans la salle-de-bains contiguë, ma perruque et, pour une première, un  trait de gloss transparent, du parfum, bref, un soupçon de féminité !
Et effectivement, un échec ces nouvelles sandales, je suis vraiment penché en avant et ne suis pas à l'aise du tout, je dois me cambrer pour n'avoir qu'une démarche tout sauf naturelle et habituelle que j'ai sur des talons hauts.J'arrive quand même à atteindre le salon et me juche sur un haut tabouret, face à Marc.Il me mets à l'aise tout de suite en me disant qu'il me trouvait très féminine ou du moins, à son goût, mettant un bémol à nos inquiétudes respectives.Un verre de vin, puis deux puis plusieurs en fait, de longues discussions, une complicité grandissante, rare, un homme délicat, écorché vif, déchiré par un méchant amour déçu, une déchirante trahison, de grands manques et besoins sexuels à assouvir aussi, je n'avais donc pas d'illusions, je n'étais qu'un substitut... Et en même temps, le désir grandissait de part et d'autre, il était si sensible et attachant, la femme que j'étais fondait... 
Plus tard, il s'est levé, a contourné le bar et s'est approché de moi. Il m'embrassa alors à pleine bouche, je n'aimais pas, trop grande sa bouche et sa façon d'embrasser, mais je me laissais faire puis l'engageais insidieusement dans ma façon à moi, vers les baisers que j'aime, plus doux et j'apprivoisais progressivement sa bouche à être moins incisive et pulsionnelle, pas joué mais je me mettais à sa place et la mienne était aussi receveuse, alors...Ma main glissa sur son entrejambe et je sentis une virilité semi-tendue à travers son pantalon.Je déboutonnais alors sa chemise, découvrais progressivement sa poitrine, embrassais ses tétons, il aimait, le câlinais, l'engageais à glisser le bout de ses doigts sur la pointe de mes tétons à travers ma nuisette et mon soutien-gorge et à les caresser comme je le souhaitais et il le fit merveilleusement bien, il me les toucha conformément à mes indications avec une telle application qui m'excitât tant que je défis sa ceinture, agrippais les bords de son pantalon et le baissais pour découvrir enfin le gland circoncis de son sexe tendu débordant de son boxer gris. Sans attendre un instant, je m'agenouillais devant lui et mes mains firent glisser ce dernier sur ses hanches, libérant son membre dressé et luisant, grand, long, magnifique, et ma bouche s'en empara sans attendre, nous arrachant mutuellement un gémissement de plaisir, avides tous les deux de cette sensation merveilleuse si attendue de part et d'autre...Ma bouche ouverte coiffa son gland érigé de mes lèvres avides et ma langue le couvrit de douceur, découvrant les saveurs de sa muqueuse si délicate et si fragile, la laissant envahir mon palais de ses muscs puissants, de son parfum intime et naturel, personnel, que je laissais me remplir, me combler d'un plaisir tant attendu, Je l'engloutissais trop vite, jusqu'à la
nausée parfois, aidé impérieusement par ses mains sur moi, me gavant de lui, m'en remplissant  à n'en plus finir.
Au bout d'un long moment, les genoux à la peine, je me séparais de son sucre d'orge et lui demandais en le regardant d'en bas, s'il ne voulait pas que l'on aille dans un endroit plus confortable, son lit par exemple...Il fût immédiatement d'accord et je le retins doucement, pour finir de le déshabiller, agenouillé devant lui, lui enlever ses chaussures, chaussettes et pantalon, avant qu'il parte devant moi, nu et terriblement homme et attirant, sa belle queue dressée vers le ciel, vers sa chambre.Je l'engageais à s'allonger sur le dos et le repris tout de suite dans ma bouche, dégustant sa douce virilité à n'en plus finir, cela dura longtemps, Son plaisir était si intense, qu'à un moment, il en vint même à me retourner et à me prendre lui aussi brièvement dans sa bouche en 69, ce fût très agréable.Revenu sur le dos, nous nous sommes ré embrassés, nous caressant mutuellement les tétons jusqu'à ce qu'il m'invite à de la main à le reprendre dans ma bouche. Je l'ai alors incité à aller et venir en moi, à me baiser la bouche, d'abord lentement mais son désir grandissant, ses coups de bassin devenaient de plus en plus puissants et de moins en moins contrôlés, au point que parfois, je le retenais car c'était trop fort, même habitué des gorges profondes, j'avais la nausée.Il finit par jouir en moi, en criant, dans des longs spasmes de jouissance, son sperme chaud m'inondant la bouche, C'était bon, j'étais femme, accueillante, bien, pleinement remplie...Tandis qu'il s'abandonnait sur le dos, je le gardais dans ma bouche, le séchais, savourais jusqu'au bout notre plaisir commun.
Nous ne dîmes mots, il n'y en n'a pas dans ces situations, surtout pour une première fois, sinon le malaise, la culpabilité et le dégout peuvent gâcher le plaisir pris. Au bout d'un moment, Marc se redressa et quitta la chambre en disant qu'il allait prendre une douche...Me recouvrant de mon kimono, je rejoignais le salon, me juchais sur un tabouret et attendis tranquillement, un verre de vin à la main, qu'il sortit de la salle-de-bains.Ce qu'il fit logiquement au bout d'un moment, puis après un sourire silencieux, disparut quelques instants dans la chambre pour revenir habillé, remettre de la musique avec la télécommande, s'assoir en face de moi avec un verre de vin, trinquer et me dire que j'étais une femme en dehors du commun....Nous discutâmes encore longuement puis je rentrais chez moi. Nous échangeâmes notre premier SMS à 9 heure, raisonnable, non ? Et encore, en en parlant ensemble par la suite, nous avions mutuellement attendus, inquiets tous les deux de ne pas déranger l'autre, sans savoir ce qu'il en était...En fin de journée, nous en étions au moins à 30, de vrais ados...Heureusement, je rentrais tôt et pouvais prendre le temps de me préparer soigneusement.Un bain où je m'endormais presque, trop chaud mais dilatant, l'occasion d'employer ma collection de plugs ...Ensuite, un peu plus que d'habitude, pour la première fois, un fond de teint, à l'éponge, maladroitement, comme me l'avait expliquée la vendeuse, malicieusement souriante de chez Marionnaud, en partant du nez dans toutes les directions, pas évident, mais plutôt réussi au final.J'avais acheté aussi du mascara, mais je n'ai pas osé. Par contre, je remettais un peu de gloss transparent, très jolie brillance.
Je revêtais alors une nouvelle parure multicolore à dominante orange, rose et vert Lise Charmel achetée récemment, un très bel ensemble string/porte-jarretelles/soutien-gorge avec une nouvelle paire de bas noir à couture, et à pointes et talons renforcés, superbe. Dans mon sac, je prenais des sandales à talons aiguilles Infinie Passion orange clair, jamais portées et un ensemble nuisette et kimono vert acheté chez Lidl (Si ! Si !) il y a longtemps et lui aussi à inaugurer. 
En dix minutes, j'étais garé devant chez lui, trop agréable.
Je montais les quelques marches et au moment où j'allais frapper, la porte s'ouvrit, et Marc m'accueillit d'un sourire.
Le surprenant, je lui dis que j'allais me préparer tout de suite et, sans attendre, je me précipitais vers la chambre en lui enjoignant de nous préparer un verre. 
Je me déshabillais et complétais rapidement ma tenue. J'en profitais pour poser près du lit un sachet contenant des préservatifs et du lubrifiant. Quelques minutes dans la salle-de-bains suffirent à mettre ma perruque, me reparfumer et réappliquer un peu de gloss. 
Je le rejoignis dans le salon, me juchais sur un tabouret de bar et nous trinquâmes en devisant sur le moment passé ensemble la veille, son ressenti, mes envies clairement exprimées tout au long de la journée,ses dilemmes et ses réticences que je m'appliquais à tenter consciencieusement à vaincre.
J'étais et ressentais pleinement, je le crois, pour la première fois de ma vie, la position d'un homme essayant de séduire un autre homme, hétéro et réticent, afin qu'il me fasse l'amour comme à une femme. A la fois étrange, car nouvelle mais si excitante sensation. 
Nous discutâmes longtemps et j'usais de tout mon charme et de notre complicité cérébrale qui lui plaisait particulièrement pour le faire succomber. Beaucoup plus tard, aidé par les nombreux verres de vins partagés et conscient de sa libido exacerbée, je finis par me lever précautionneusement de mon tabouret, contourner le bar, m'approcher de lui, saisir son visage à deux mains et en lui murmurant des mots doux et rassurants, poser mes lèvres sur les siennes. Après quelques secondes de réticence, sa bouche s'ouvrit et nos langues se mêlèrent, nos bras s'enlacèrent, nos corps se collèrent et je fondis de féminité collé à lui.
Nous nous embrassâmes fougueusement, nos mains glissant sur nos corps, les siennes un peu vigoureuses, masculines, sur mes hanches et mes fesses, me plaquant virilement contre lui et me faisant ressentir, avec un plaisir immédiat son désir déjà présent. Nous vacillâmes un peu enlacés d'ivresse puis, me séparant de lui, je lui pris la main et d'un pas à la fois ferme et vacillant, l'entrainais vers sa chambre. 
Arrivée dans celle-ci, il me guida de la main qui me tenait sur le lit où je m'allongeais docilement pour le regarder allumer quelques bougies dispersées à l'aide d'un briquet préparé sciemment. La chambre se para d'éclairs tamisés et il vint se coucher sur le coté face à moi. Nous nous collâmes à nouveau l'un contre l'autre et nos bouches se joignirent. Le baiser fût long et fougueux, nos mains parcoururent  nos corps et les miennes l'engagèrent  à se mettre sur le dos et à s'abandonner à mes caresses. Tout en continuant à l'embrasser, je je défis les boutons de sa chemise, découvrant son torse, y glissant mes mains puis mes lèvres sur sa peau, ses tétons que j'excitais alternativement de mes doigts mouillés et de ma langue, sensible et ravi de son membre dur contre mon ventre et de ses mots. J'enlevais sa chemise, collé contre lui, l'aidant à la sortir de ses bras pour la jeter en dehors du lit. Mes doigts s'appliquèrent à défaire sa ceinture, déboutonner son pantalon et découvrir son sexe tendu dépasser de son slip. Ma langue en enveloppa son gland tendu sur son ventre d'une délicate et avide caresse, son bassin d'un coup tendu vers moi et ses mains se posant naturellement vers ma tête. 
"Oh, Michèle..."
Je fis glisser d'un mouvement continu slip et pantalon sur ses cuisses jusqu'à les enlever et les jeter loin  et revenir poser mes lèvres sur son sexe tendu et le relevant  avec deux doigts de son ventre, l'engloutir dans ma bouche avec un gémissement contemporain du sien et d'un nouveau:
"Oh, Michèle"
Qui me ravit d'excitation.
Je savourais sa douce et dure virilité dans ma bouche et m'en remplis longuement, alternant baisers et coups de langue sur son gland et longs engloutissements jusqu'en fond de gorge, m'emplissant de lui, de mes sensations amplifiées par les siennes exprimées, ne me lassant pas de son sexe chaud et dur allant et venant sur mes lèvres, mon palais, ma bouche, attentif à ses mots de satisfaction rythmés par ses mains sur ma nuque.
Plus tard, le sentant au bord de l'explosion, je le quittais et remontant vers lui, lui léchant le bas-ventre, le nombril, les tétons, je me collais contre lui et après l'avoir embrassé d'un baiser mêlé de nos langues et de nos salives, ses mains sur mes hanches puis mes fesses, je lui dis que j'avais envie de lui, qu'il vienne en moi et qu'il me fasse l'amour. 
Sans attendre sa réaction, ma main glissa le long du lit, saisit le sac préparé à l'avance, en sortit un le lubrifiant que je posais sur le lit et préservatif que j'ouvris d'un coup de dent. Marc s'était redressé sur un coude et me regardais faire sans mot dire. Saisissant sa queue dressée d'une main, je posais le préservatif sur son gland de l'autre et d'un geste sur, je le déroulais jusqu'à la base. Ouvrant du pouce le tube de lubrifiant, j'en recouvrais le condom d'une belle couche puis après l'avoir posée délicatement sur son ventre, je l'enjambais et m'accroupissais sur lui. Écartant alors la ficelle de mon string, je plaquais le tube contre ma chatte et en remplissais l'orifice du liquide frais. 
Après avoir posé le tube à proximité, je couchais mon corps sur Marc qui s'était abandonné sur le dos, posais mes lèvres sur les siennes puis contre son oreille  et l'engageais à prendre son sexe d'une main et le dresser contre ma chatte pendant que j'écartais mes fesses à deux mains et les posais d'un mouvement arrière du bassin sur sa queue dressée. Tout en frottant mon torse contre le sien, ma bouche dans son cou, je le guidais dans mes désirs.
"Doucement, ça va mettre du temps mais on a tout le temps, tu vas venir en moi doucement à mon rythme". 
Sentant son gland posé contre mon orifice, j'entamais un lent mouvement avant arrière de mes cuisses sur lui, pressant progressivement pour qu'il entre en moi.
Ce fut long, il fallut du temps, Marc était bien membré. Je me détendis, me relâchais, mes mains m'écartant au maximum, collé contre lui, nos sueurs mêlées, mes mots exprimant à son oreille mon ressenti et le guidant à ma convenance. Il était silencieux.
Son gland passa mon sphincter et je nous immobilisais de mes mains quittant mes fesses pour se plaquer contre lui, saisi de sa rentrée. Il ne bougea plus, figé sur mes dires.
Me redressant sur mes cuisses, je le fis sortir de moi avec un petit "plop" qui le surprit et sa queue se plaqua à nouveau sur son ventre avec un bruit mat. La saisissant d'une main et de l'autre le tube de lubrifiant, je la ré enduisis ainsi que ma caverne avide de lui. Reposant le tube à portée de mains, je saisis sa queue, la posais sur mon trou et la fit à nouveau entrer en moi en m'asseyant sur lui.
"Hummmm..."
Son gland rentra en moi facilement, cette fois ainsi que plusieurs centimètres de lui.
Me redressant, agenouillé sur lui, je lui dis que c'était bon, que je voulais qu'il me caresse les tétons comme je lui dirais, d'un mouvement doux et tournant, sous ma nuisette et mon soutien-gorge, du bout des doigts pendant qu'il allait me pénétrer totalement . 
Je guidais les doigts de Marc sur mes seins selon mes souhaits pendant que je m'asseyais progressivement sur lui, remontais puis redescendais et sentais son sexe dur me remplir progressivement, m'ouvrir, me dilater, m'envahir au rythme de mon bassin se posant sur lui par à-coups.
Quand mes fesses se posèrent sur ses cuisses, que je sentis ses couilles s'écraser contre mes fesses, je sus qu'il était totalement en moi et que j'étais complètement rempli de lui. Ce n'était ni douloureux, ni plaisant. C'était...
Me penchant en avant, je l'embrassais, lui dis que j'étais bien, comblé, rempli de lui, comme une femme et qu'il pouvait arrêter de s'occuper de mes seins, me prendre par les hanches et me baiser, comme il le voulait, par derrière si il le préférait.
Et il me dit alors, oui, si tu veux bien, je veux bien par derrière, et je l'ai bien compris car je le savais...
Me redressant alors et le faisant sortir de moi, un grand vide d'un coup, je l'ai enjambé et me suis mis à quatre pattes, en levrette, m'emparant des oreillers sous mon ventre pour m'installer confortablement, je me suis offert à son désir d'homme.
La tête posée sur le coté pour pouvoir le regarder, mes mains écartant mes fesses bien écartées, j'ai senti ses cuisses entre les miennes, se positionner contre moi, son sexe tendu de désir contre ma chatte ouverte et saisissant mes hanches à deux mains, me pénétrer d'un mouvement à la fois retenu mais continu tellement j'étais offerte et son bassin butter contre mes fesses, son sexe entrer entièrement en moi, jusqu'à la garde, ses couilles et son bassin contre mes fesse avec un grognement naturel.
"Hummm".
Son sexe au fond de moi d'un coup m'ouvrit d'une douleur insoupçonnée que j'exprimais par un cri. Marc se figea. 
"Ca va ? Je suis désolé? Excuse-moi, Michèle..."
Son attention me fit fondre et je reculais mon cul contre lui, amplifiant la douleur de sa pénétration totale.
"Caresse moi les seins, Marc...et continue"
Ses doigts se glissèrent aussitôt sous ma nuisette et mon soutien-gorge et me caressèrent les seins comme je lui demandais, c'était trop bon, j'en oubliais la souffrance pour n'être que plaisir. 
"Encore un peu, Marc, s'il te plait, et puis à toi de prendre ton plaisir...".
Gentiment, Marc me caressât les tétons puis à ma demande, empli d'excitation, je l'engageais  à profiter de moi égoïstement.
"Baise-moi, Marc, prends-moi, jouis de moi".
Saisissant alors mes hanches à deux mains, tout en me demandant si c'était bien, Marc s'est mis à me baiser en de longues pénétrations vigoureuses, son sexe allant et venant en moi, me remplissant par de grands aller-et-retours vigoureux, sa bite ressortant et re rentrant, glissant en moi librement comme dans un vagin, continuant parfois gentiment de m'interroger sur ma satisfaction entre deux coups de rein de plus en plus fort et de moins en moins contrôlés, son sexe m'empalant totalement, mes doigts me caressants les seins écrasés contre les oreillers, au rythme de ses coups de boutoir, jouissant de lui et de moi, totalement empli d'un plaisir si incommensurable, que je ne voulais pas qu'il s'interrompe...
Ses doigts crispés sur mes hanches, son bassin incrusté dans le mien, un grognement d'homme qui jouit, des spasmes itératifs contre mes fesses, sa libération, des ondes de plaisir, et un corps qui s'abat sur moi, m'écrasant, de tout son poids, s'abandonnant de tant de jouissance contenue et libérée, dans la femme que j'aime être, et qui n'est pas celle qu'il souhaitait, mais que j'aime être tant, moi, en moi...
Nous restâmes ainsi sans mots dire un long moment.
Je le sentis enfin prendre appui sur ses mains, se décoller de mon dos et son sexe encore dur sortir de moi. Quelle sensation de vide...
"Je vais prendre une douche..."
J'aurais tant aimé qu'il me dise, sans illusion aucune, "Reste-là...", mais ce ne fût pas le cas. Et pendant qu'il se douchait, je m'empressais de quitter mes habits de femme, de me rhabiller en homme et de rejoindre le salon avec mon sac.
Marc sortit de la salle de bains pour me trouver prêt à partir. 
"A bientôt ?".
Par michel
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Mardi 22 novembre 2 22 /11 /Nov 00:37

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Par michel
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Jeudi 23 juin 4 23 /06 /Juin 14:48

Deux nouveaux films

The Danish Girl

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Tangerine

 

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Par michel
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Vendredi 10 juin 5 10 /06 /Juin 16:30
N'achetez surtout pas sur le site JustFab, attiré comme moi par des prix très attractifs (13€) pour des sandales à talons aiguille... Si vous ne lisez pas les conditions particulières, vous vous retrouvez ultérieurement débité tout les mois de la somme de 39€ ! Il est ensuite très difficile de se desinscrire... À ma décharge, avant de commander, j'aurais dû aller vérifier la validité du site et découvert sur le net les centaines de plaintes déposées...
Par michel
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Dimanche 28 juin 7 28 /06 /Juin 19:03
Je me réveillais vers 8h, en sueur car il faisait chaud en ce mois de juin. Immédiatement, je rangeais mes affaires éparpillées au pied du lit et me rendis dans la salle de bains juste couvert de mon kimono noir. Une douche qui me permit de retrouver mon ventre encore bien ouvert, un coup de tondeuse sur mes jambes et mon pubis, un rasage soigneux de ma barbe, quelques poils à épiler sur les sourcils, crème, parfum, léger fond de teint, touche de rouge à lèvres, perruque...Pour finir, je m'appliquais sur les ongles un vernis transparent. A terme, j'avais mis presque une heure. Plus j'avançais et plus je me rendais compte du temps que cela prenait de se féminiser et je n'en n'étais qu'aux balbutiements...
Après m'être bien lubrifié, je mis mon plug moyen qui rentra d'un seul coup. Je tentais alors de faire jouer un peu le gros, sans arriver toutefois à le rentrer complètement. 15 cm, ce n'est pas si long, probablement moins que le gode-ceinture d'Evelyne mais les 4.5 cm de large ne passaient pas...Je ne remis pas de plug, m'estimant assez ouvert pour Bruno... 
De retour dans la chambre, je mis du temps à choisir ma tenue. Il faisait déjà chaud à 9h et j'eus un moment d'hésitation quand à mettre des bas et en même temps...
Je me décidais pour des bas auto-fixant blancs à résille très fine et un string assortis. Je négligeais le soutien-gorge pour un petit haut en résille blanc et une jupe légère d'été m'arrivant juste aux genoux.
Enfin, je me chaussais de sandales blanches avec 3 lanières sur le coup de pied maintenues par un petit carré de strass avec des talons de 11 cm.
Quand j'ouvrais les volets de la chambre, le soleil inonda la pièce accompagné du bruit des cigales.
Quittant la chambre, je traversais le salon silencieux et me rendis dans la cuisine. Après un premier café, je préparais le petit-déjeuner après avoir farfouillé partout pour trouver de quoi faire une table agréable sur la terrasse. 
Un quart d'heure après, j'entendis du bruit et vis Bruno, en short et tee-shirt apparaitre dans le salon.
"Bonjour Michèle, bien dormi ?"
" Très bien, merci et toi ?"
"Oh que oui, c'était très agréable et puis de savoir que tu serai encore là aujourd'hui...Tu est très jolie comme ça."
En le remerciant, je m'approchais de lui et tout en posant mes lèvres sur les siennes, je caressais sa joue de la main.
"Ça pique..."
"Déjà des exigences, tu es bien une femme !" dit-il en riant.
J'entendis et vis furtivement Evelyne, juste couverte de son déshabillé noir traverser le salon en direction de la salle de bains.
Bruno découvrait la table mise et me remercia en s'installant après s'être fait un café. 
"Des exigences mais aussi des qualités... de soubrette ?"
"Un peu..." 
Attablés sur la terrasse, nous devisâmes très naturellement de tout et de rien en attendant Evelyne qui apparut elle aussi en blanc, beaucoup plus simplement vêtue d'un tee-shirt et d'un short, pieds nus. En me voyant, elle se récria:
"Tu es trop sexy, Michèle, ce n'et pas juste, je vais me changer..."
Tournant les talons, elle disparut vers sa chambre pour revenir quelques minutes après, toujours en blanc mais beaucoup plus suggestive. Un petit haut en voile quasiment transparent qui offrait ses seins posés sur un soutien-gorge porte-seins, une jupe tout aussi transparente montrant un string et des mules blanches à talons d'environ 8 cm. Très discrètement maquillée, elle était superbement excitante  pour une femme de 60 ans.
"Et bien, ça promet..." entendis-je murmurer Bruno et je croisais son regard brillant.
Nous mangeâmes tout en discutant, le petit-déjeuner se transformant en brunch, car comme dit Evelyne, il est dix heures et elle amena du jambon, des œufs, du fromage, des yaourts, des fruits,...
Nous parlâmes ainsi longuement de nos vies respectives, de notre histoire, pas seulement sur le plan sexuel et c'était très agréable. Encore une fois, les couples qui désirent des transgenres sont souvent très ouverts et intéressants. 
Nous restâmes assez longtemps à table puis j'aidais Evelyne à desservir pendant que Bruno s'éclipsait.
"Tu sais Michèle, nous sommes agréablement surpris, Bruno et moi, de cette rencontre. Nous étions un peu inquiets, surtout lui. Et nous sommes complètement rassurés. Hier soir, c'était très plaisant et nous sommes ravis que cela se poursuive. Tu es très "femme" et c'est très agréable" me dit Evelyne en se collant contre moi et en montant sur la pointe de ses mules pour m'embrasser.
Nous finîmes de tout ranger quand Bruno réapparut rasé de frais, torse nu et en short.
"Un petit bain s'impose, non ?"dit-il en nous regardant.
Sans attendre une réponse, il sortit sur la terrasse, enleva son short et plongea dans la piscine.
Je le suivis, enlevais juste mes bas, ma jupe et mes sandales et me jetais à mon tour dans l'eau tiède, vite rejoint par Evelyne qui avait fait tout comme moi. 
Nous barbotâmes longuement en devisant jusqu'à ce que Bruno sorte et s'allonge sur un transat, en érection...
L'excitation monta soudain en moi à la vue de ce sexe tendu. Je sortis alors de l'eau et trempé, je remis mes sandales avant de déplacer un transat à coté de Bruno et de m'y allonger. Mon sexe en érection dépassait de mon string et reposait sur mon bustier trempé. La vision des seins d'Evelyne tendus sous son voile lui-aussi trempé, en string et penchée en avant en train de glisser ses pieds dans ses mules fit monter ma tension d'un cran. C'était extrêmement sensuel.
Sans pouvoir attendre, je posais ma main sur la cuisse de Bruno et commençait à le caresser lentement. Très vite, la sienne se posa sur un de mes seins et commença à l'exciter à travers la résille mouillé. J'adorais ces attentions et mon sexe se durcit encore.
Ma main remonta doucement jusqu'aux douces boules de Bruno que je mis à envelopper, à soulever, à soupeser, à faire glisser dans la paume de ma main. Je les sentais se contracter au fur et à mesure de son désir. Puis j'enserrai délicatement la base de son sexe avec deux doigts pour en sentir la dureté avant de l'empaumer pour de longs va-et-vient continus.
Il se mit à m'encourager avec des mots doux, qu'il était bien, que c'était très excitant d'être ainsi avec ses deux femmes à demi-dévêtues, que je devais continuer...
Je lui demandais alors s'il aurait envie de venir en moi, plus tard ou tout de suite, s'il le souhaitait car moi je le désirais beaucoup.
"Oui, oui, mais avant, prends-moi un peu dans ta bouche, tu suces bien, hier soir, c'était trop bon"
Me redressant sur mon transat, je découvris Evelyne sur le sien, allongée sur le coté en train de nous regarder tout en passant sa main sur la poitrine de son mari. Je me penchais alors sur ce dernier et m'accroupissant sur lui, je happais son gland dans ma bouche, le léchais de la langue, tout en continuant de faire monter et descendre ma main. Il était dur comme du bois, palpitant. Ouvrant ma bouche en grand, je l'engloutis enfin jusqu'au réflexe nauséeux avant de revenir et de replonger encore. Je me gavais longuement de son sexe gorgé de désir, comme un sucre d'orge en l'avalant complètement puis en le faisant ressortir.
Plus tard, je relevais la tête et vis qu'Evelyne se caressait de l'autre main glissée sous son string.
"J'ai envie de toi en moi, tu veux ?"
Bruno acquiesça et je demandais à Evelyne si elle avait du gel et un préservatif. Pendant que celle-ci se levait pour aller dans la maison, nous profitâmes tous les deux de sa vision de dos, de ses fesses nues dans lesquelles disparaissait la ficelle de son string, juchée sur ses talons hauts. 
Je demandais à Bruno s'il était d'accord pour que je m'assois sur lui car j'aimais commencer ainsi pendant qu'il me caresserait les seins mais qu'après, il pourrait me prendre comme il le voulait. 
Il me répondit oui mais qu'il ne fallait pas oublier Evelyne...Je le rassurais alors en lui disant que ma langue serait très agile...
Evelyne, passant la tête sur la terrasse, nous invita à venir dans la chambre, ce serait plus confortable. 
Me relevant, je m'y dirigeais en premier, la main d'Evelyne me caressant les fesses au passage. Je les entendis se murmurer des mots derrière moi, probablement ceux que nous avions échangées avec Bruno. 
Debout dans la pénombre de la chambre fraîche, j'attendis debout que Bruno s'allonge sur le dos. M'accroupissant à nouveau sur lui, mes jambes de part et d'autre des siennes, je le repris dans ma bouche pendant que je prenais le préservatif posé sur le lit et déchirais l'emballage. Puis je le posais sur son gland et le déroulais complètement sur son sexe tendu. J'étais très excité, j'allais me faire prendre.
J'ouvrais le tube de gel et après m'être penché en avant, je m'en remplis le ventre. Enfin, m'avançant vers lui en glissant sur mes genoux et en me redressant, je lui en mis aussi sur le préservatif, le répartissant bien avec un doigt. 
Quand je lui demandais alors de le tenir, c'est Evelyne qui se proposa en se mettant derrière moi. Saisissant mes fesses à pleine main et fléchissant sur mes cuisses, je me positionnais sur lui et frissonna au contact du latex lubrifié sur ma rondelle. M'écartant bien, je fis des petits mouvements des cuisses en appuyant  pour le faire pénétrer en moi. Le passage de son gland me fit gémir puis je continuais mes mouvements de piston pour le faire rentrer en moi progressivement. Je sentis Evelyne enlever sa main et je sus qu'il n'était pas loin de me remplir. Continuant ma pression, je finis enfin par m'assoir sur ses cuisses, le cul complètement rempli de son sexe dur. Saisissant ses deux mains, je les posais sur mes tétons et m'abandonnais alors au plaisir total d'être pris sans aucune douleur et d'être caressé comme j'aime l'être.
Je n'avais plus la moindre érection mais mon plaisir était dans mon ventre et dans mes seins. Comme une femme...
Je commençais alors de longs va-et-vient assis sur lui, me redressant et m'asseyant, le ventre et les seins en feu quand Bruno ne les quittait pas pour saisir mes hanches et m'empaler encore plus, ce me provoquait une petite douleur sourde.au fond de moi.
Evelyne avait enlevé son string et se caressait en nous regardant, allongée sur le lit, les jambes semi-écartées. C'était très excitant. 
Au bout d'un moment, il sortit de moi et me prit le bras pour m'allonger sur Evelyne qui remonta dans le lit. Je me couchais alors sur elle, l'embrassais brièvement, caressais longuement ses seins tendus sous le filet, les mordillais tendrement, ses mains sur ma tête avant de descendre, d'effleurer son ventre, son nombril pour découvrir sa toison brune, elle aussi limitée.  
Avant de m'y pencher, les fesses en l'air au bord du lit, j'engageais Bruno à remettre du lubrifiant.   
Evelyne avait écarté ses jambes et m'offrait son sexe qui s'avéra inondé. Envahi par son odeur, j'écartais ses lèvres et délicatement, j'entrouvris son vagin de la langue le plus loin possible, le nez submergé de ses humeurs excitantes. 
Très vite, je sentis le contact frais du sexe de Bernard rentrant en moi d'abord timidement puis vu sa facilité, d'une poussée continue jusqu'à me remplir complètement, son ventre contre mes fesses. Il s'arrêta quelques secondes puis sur une incitation silencieuse de mon bassin vers lui, posa ses deux mains sur mes hanches, se retira lentement, se renfonça d'une poussée continue puis commença un long va-et-vient régulier. 
Je m'abandonnais à cette chaleur qui me remplissait doucereusement le ventre pour découvrir le petit bouton d'Evelyne et le caresser de ma langue au gré de ses mots, de ses gémissements ou des mouvements de son bassin. 
A son tour, ses doigts prirent possession de mes seins et le plaisir m'inonda le corps entier. Mon sexe se durcit. J'avais chaud, j'étais en sueur, les coudes trempées de sueur posés sur le lit, léchant Evelyne au rythme des allées et venues de plus en plus pressantes de Bruno dans mon ventre. Je m'abandonnais totalement, profitant pleinement du plaisir dont j'étais rempli et me gavais de sensations. Le feu dans mon cul ramoné, des éclairs dans mes seins qui diffusaient jusqu'à mon sexe tendu qui ne demandait qu'à être caressé pour jouir, le plaisir que je donnais à mes partenaires et qu'ils prenaient...
Les mains d'Evelyne alternaient entre mes seins et ma tête qu'elle plaquait sur son sexe, me guidant de mots hachés et de plus en plus directifs au fur et à mesure que son bassin s'agitait de saccades de moins en moins contrôlées, les mains de Bruno maintenant crispées sur mes hanches et les coups débridés de son sexe dans mon cul entièrement dilaté qu'il sortait entièrement avant de s'y enfoncer encore et encore.
Bruno jouit en premier, planté en moi jusqu'à la garde, en longues giclées que je sentis bien, les cuisses tremblantes contre les miennes et resta ainsi un long moment, son ventre collé à mon dos par la sueur. J'aime ce trop bref moment...
Puis, assez vite, Evelyne émit un petit cri après une accélération des poussées de son ventre vers ma bouche puis, se dégageant brutalement de moi, se coucha sur le coté en chien de fusil, les mains entre ses cuisses, secouée par quelques tremblement puis ne bougea plus. 
Bruno se recula, sortit de moi et je ressentis ce grand vite et la fraicheur de l'air qui rentre dans ma fleur ouverte. Je mis quelques secondes à me redresser à mon tour, tout le corps tendu et à me déployer doucement. 
J'entendis Bruno dire qu'il allait prendre une douche et le vis sortir de la chambre, le sexe en demi érection.
A mon tour, je quittais pièce, pour aller dehors, ayant un bref vertige, ébloui par le soleil et envahi par la chaleur de ce milieu d'après-midi de juin, juché sur mes talons aiguilles, avant d'enfiler ma jupe et de m'allonger sur un transat à l'ombre, trempé de sueur, épuisé et toujours excité à la fois...
C'est le bruit des bouteilles et des verres qu'amenait Bruno sur un plateau qui me fit sortir de ma torpeur. Il était en short, torse nu. 
M'asseyant avec lui, nous bûmes longuement et silencieusement . Evelyne arriva alors, en petite robe blanche sage et pieds nus. Elle s'abreuva aussi avant d'envisager de pouvoir prononcer un mot.
"Je ne sais pas trop quoi dire, c'est trop intense et nouveau pour moi..."
Elle se tourna vers Bruno qui se contenta de confirmer d'un hochement de tête.
 "Je vais aller prendre une douche à mon tour".dis-je pour les laisser seul.
Dans la salle de bains, je me déshabillais rapidement et savourais pleinement une douche tiède puis froide. Dans la chambre, je rangeais mes affaires, revêtis mes vêtements d'homme avant de les rejoindre. 
"C'était très agréable, j'ai passé un excellent moment avec vous deux. J'espère qu'il en a été de même pour vous ?"
Nous discutâmes encore un long moment moment avant que je prenne congé. 
Nous savions comment nous contacter...
Par michel
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Vendredi 5 juin 5 05 /06 /Juin 17:42

Deux films récents à voir

 

 

 487904

"Une nouvelle amie" de François Ozon avec Romain Duris et Anaïs Demoustier


http://streaminggratuithd.com/une-nouvelle-amie/

 

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  "Les nuit d'été" de Mario Fanfani avec Guillaume de Tonquédec et Jeanne Balibar 

 

Et une BD à lire...

 mauvais genre couverture

"Mauvais genre" de Chloé Cruchaudet

Par michel
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Lundi 15 décembre 1 15 /12 /Déc 23:29

Il était 18h, un vendredi soir et à peine rentré, j’allumais mon ordinateur et lançais ma messagerie avant d’aller prendre une douche. Une soirée à vivre d'autres désirs, peut-être seul, mais aussi à la rencontre des autres, et donc, du plaisir.

Je choisissais ensuite mon ensemble trois pièces rose Aubade, string et soutien-gorge, négligeant le porte-jarretelles et les bas en cette saison très chaude, j'ajustais de nouvelles sandales récemment achetées, roses, elles aussi, mais épurées comme je les aimais, avant de me couvrir d’un kimono noir.

Quelle ne fut pas ma belle surprise de découvrir 5 flashs et un message en provenance d’un même couple originaire de ma ville. Me connectant immédiatement sur le site, je découvris le profil séduisant des intéressés : nouvellement inscrits, la soixan mandeur d’une expérience bi avec la complicité de madame, cette dernière en bas noirs, guêpière et string assortis, escarpins plateforme à talons aiguilles, sans photo de monsieur, plutôt BCBG dans leur présentation et pouvant recevoir. J'étais très attiré.

De plus, leur message était sans équivoque : « Bonsoir Michèle, votre profil nous séduit beaucoup, Bruno et moi. Nous avons TRES envie de vous rencontrer. Contactez nous vite. Evelyne ».

Hélas non connectés, je leur envoyais rapidement un message leur témoignant de mon intérêt, pour ne pas dire de mon excitation grandissante, de si tentantes propositions sont rares.

Impatient malgré tout, je m'éloignais de l'ordinateur pour dîner calmement.

Vers 21h, je me re-connectais. Ils étaient présents et se manifestèrent tout de suite par un message « chat » :

« Bonsoir Michèle »

« Bonsoir Evelyne et Bruno. Merci de vos kiss et de votre message »

« De rien, nous nous sommes enfin décidés à nous inscrire car Bruno a très envie d’une expérience bi et ton profil nous tente beaucoup, enfin, surtout lui."

"Bonsoir Evelyne, enchanté. Il me semble que tu ne partages pas tout ça, ce sont surtout ses désirs à lui, non ?"

"Effectivement, mais en même temps, je suis curieuse, excitée aussi, j'imagine des choses, deux hommes ensemble, le mien avec un autre homme devant moi, et toi qui te décrit comme un "homme en femme", pas un travesti, nous l'avons compris et c'est ce que Bruno souhaite, un homme, il en a très envie, pas un travesti, mais la lingerie l'excite beaucoup, alors la combinaison. Tu semble être ce qu'il imagine dans ses fantasmes !"

"J'ai très envie de vous rencontrer. Quand êtes vous disponibles ?"

« Maintenant ? »

"Oui, avec grand plaisir !"

"Trop bien !"

Je passe sur le reste expédié de notre dial, ma description et mes attentes, les leurs, l’ouverture de mes photos privées, dont mon visage, puis, rapidement, les coordonnées de leur domicile idéalement assez proche.

Tout allait très vite, c'était à la fois très excitant et totalement serein, sans la moindre crainte, plaisant.

Et puis, Evelyne m'avait bien prévenu que Bruno était timide, que c'était la premièrefois, mais grâce à elle, aussi.

J'étais sous le charme.

Je décidais, une folie, de garder ma lingerie sous mes vêtements d'homme. Une prise de risque excitante, dans l'esprit de cette aventure.

Immédiatement, je retournais dans la salle-de-bains pour une deuxième séance, lubrifiais puis mettais assez facilement en place mon plug intermédiaire. Après avoir enfilé savoureusement une paire de bas noirs assez opaques, n'étant pas, je le rappelle, épilé, je les fixais sur le porte-jarretelles rose assorti. Qu'est ce que c'était agréable, voluptueux et excitant !

Je me rhabillais très vite d'un pantalon blanc et d'une chemise rose, avant d’aller prendre ma valise.

Il ne me fallut qu’une vingtaine de minutes pour me rendre chez eux et il y avait de la place devant une villa discrète d'un lotissement désert à cette heure. D'être en lingerie sous mon pantalon et ma chemise d'homme m'avait déjà excité tout au long du trajet.

La porte s’entrouvrit sur Evelyne, jolie petite brune souriante, dans la même tenue que sur le site, recouverte d’un déshabillé noir qui m’invita à entrer en refermant vite la porte derrière moi.

« Bonsoir Michel, bienvenue. Viens, Bruno est sur la terrasse »

L’intérieur que je traversais en suivant Evelyne était clair et de bon goût, débouchant sur une terrasse couverte de verdures en pots autour d'une piscine. L'ensemble était ravissant. Bruno, bel homme grisonnant en pantalon beige et polo noir, attablé sous une pergola se leva et me tendit assez timidement la main en balbutiant un mot de bienvenue. Sa timidité exacerba encore plus ma féminité désirée, presque envie de le draguer, de le charmer, au-delà du sexuel. "Bonsoir Bruno, Michèle, enchanté"

"Bonsoir Michèle, moi aussi"

"Je te plais ?"

"Oui"

"Moi aussi, j'en suis ravi"

"Tu préfères que je m'habille tout de suite ou que nous discutions un peu d'abord ?"

"J'aimerai bien que tu sois en femme dès maintenant"

Evelyne, ayant suivi nos échanges, m'invita à la suivre jusqu'à une chambre après m'avoir indiqué les portes des toilettes et de la salle-de-bains..

"Fais comme chez toi, il y une serviette pour toi dans la salle de bain"

"Merci, à tout de suite"

Je me déshabillais vite, savourais cette longue préparation dans la salle de bains, féminine, sensuelle, avant de mettre mes sandales, de nouer ma nuisette et d'enfiler mon kimono. Je savourais ma féminité, je la savais séductrice et excitante, on me l'avais parfois répété. J'adorais évoluer ainsi, mince, encore plus grande, couverte de nylon, le claquement des talons, le déhanché de ma fine silhouette habituée à marcher sur ces hauteurs.

Je me remplis de leurs regards curieux et, sans leur laisser le temps de réagir, je m'installais entre eux.

Je me tournais alors vers Evelyne avec un sourire coquin:

"M'offririez une douceur à déguster avant de m'abandonner à celle de Bruno ?"

Ce fut une mirabelle de Vendée, qu'elle apporta, fruitée puis ravageuse, enflammant les esprits et les corps.

Nous avons mangé et bu, parlé de tout et de tout, puis notre discours s'est d'abord orienté vers mon histoire avant d'aborder leurs désirs et les fantasmes de Bruno, jusque-là réprimés, de leur découverte par Evelyne, de ses émotions, de leurs grandes discussions puis de son évolution à elle. C'était elle l'instigatrice, il n'osait pas, depuis longtemps. Elle avait trouvé sur internet des traces de navigation sur des sites gay et travesti. Alors un soir, elle lui en avait parlé.

Cela avait été difficile, il lui avait fallu du temps pour avouer ses fantasmes et elle pour les comprendre et les accepter. IIs en avaient longuement discuté. Elle l'aimait beaucoup et donc voilà, nous y étions, et pour le moment, ma présence était très agréable pour elle aussi car Evelyne, je la découvrais, était une jouisseuse, curieuse du plaisir à prendre.

Tout en parlant, je pris la la main de Bruno et la posais sur ma cuisse gainée de nylon noir. Puis, à un moment, me tournant lentement vers lui, je posais alors mes lèvres sur les siennes et l'embrassais doucement. Passé une infime fraction de seconde de réserve, sa bouche s'abandonna à la rencontre de la mienne et nos langues se mêlèrent. Il avait fermé les yeux et cela dura longtemps, je sentis les doigts de sa main découvrant ma peau nue à la lisière des bas, sous ma robe.

De son côté, Evelyne se mit à parcourir mon corps de ses mains, bientôt rejointes par la deuxième de Bruno. J'étais très excité de leurs caresses.

Nous nous embrassions toujours et je glissais mes mains sous son polo, sur son torse et ses seins que j'effleurais du bout des doigts, ce qui lui procura un frémissement.

Evelyne ouvrit mon kimono et regarda mes dessous:

"C'est superbe. Regarde, Bruno, comme c'est joli. Une grande marque, non ?"

Bruno découvrit ma tenue d'un regard brillant:

"C'est très excitant aussi"

Ils se mirent à me toucher, parcourant la soie et le nylon, touchant ma peau et Evelyne effleurait mon érection non contenue dans mon string. J'enlevais le polo de Bruno et alternait des baisers sur sa bouche et ses mamelons.

Me mettant à genoux, je déboutonnais le pantalon de Bruno et le glissais sur ses cuisses puis lui enlevais. Lui aussi était excité car son sexe tendait en travers son boxer.

Evelyne découvrit mon plug et me demanda s'il était gros. Tout en caressant le sexe de Bruno à travers son boxer, je lui répondis qu'elle pouvait l'enlever pour voir mais qu'ensuite, il faudra le re-lubrifier si elle voulait jouer avec.

Je la sentis quitter la pièce et baissait lentement le boxer de Bruno, faisant se dresser un sexe d'une quinzaine de centimètres, circoncis, totalement lisse jusqu'au pubis qui lui, conservait une pilosité entretenue.

Posant délicatement ma main dessus, je léchais son ventre puis remontait jusqu'à ses seins avant de reprendre sa bouche en lui demandant perfidement si ça lui plaisait toujours. Son "oh oui" fut clair.

Au moment où j'allais me remettre à genoux devant lui, Evelyne revint et nous invita à aller dans la chambre, nous y serions mieux. Elle tenait dans ses mains d'un coté ce qui me sembla être un tube de lubrifiant et de l'autre ce qui me sembla être un gode-ceinture avec ses lanières.Je les suivis tout les deux, lui l'homme nu et le sexe tendu la précédant devant moi, sa silhouette noire juchée sur ses talons hauts et entrais dans la chambre à leur suite.

Effectivement, la pièce n'était éclairée que par deux bougies, laissant une douce pénombre sur des draps noirs et rouges.

Bruno s'allongea naturellement sur le dos et je vins me mettre aussitôt à quatre pattes devant lui.

Décollant délicatement de son ventre sa verge tendue, je posais d'abord doucement mes lèvres sur son gland luisant, puis ma langue le titilla longuement, tournant autour de sa couronne du bout des lèvre avant de l'engloutir le plus loin possible d'un mouvement continu, infiniment lent, jusqu'au fond de ma gorge, presque jusqu'à la nausée et revenir en dégustant toute la longueur de sa chair chaude et dure. C'était tellement bon de savourer ce sexe dur dans ma bouche...

Ses mains se posèrent alors sur ma tête et il me dit que c'était succulent d'être ainsi sucé, de me voir le faire, de savoir que j'étais un homme, que je semblais aimer ça et que pour lui aussi, c'était très excitant de faire ça devant Evelyne.

Plus tard, je lui demandais de me caresser les seins et il s'empressa de le faire selon mes dires. Je ne sais plus combien de temps ma bouche a glissé sur sa bite dure et chaude, excité par la délicieuse caresse du bout de ses doigts qui tournaient doucement sur mes tétons, à l'engloutir encore et encore, comme un délicieux sucre d'orge. Je perdis la notion du temps jusqu'au moment où je sentis les mains d'Evelyne écarter mon string, retirer mon plug puis le remplacer d'emblée mais doucement par deux de ses doigts lubrifiés qui rentrèrent facilement. Cette fraicheur me fit frémir. Elle les fit aller et venir un moment avant d'en ajouter un troisième que je sentis bien m'ouvrir encore plus.

Elle me demanda si ça allait et j'acquiesçais de la tête sans quitter le sexe de Bruno. Se collant alors dans mon dos, elle me chuchota à l'oreille qu'elle rêvait depuis longtemps d'enculer un homme. Puis elle se recula, sortit ses doigts et je l'entendis se harnacher. Un bref instant, je regrettais de ne pas m'être plus préparé et de ne pas avoir mis mon gros plug. J'eus à peine le temps d'y penser que ses mains écartaient mes fesses et que le gode se posait déjà contre ma fleur. Je m'appliquais à bien me détendre mais malgré sa poussée retenue, j'eus l'impression d'être déchiré quand le gode entra en moi. Devant mon mouvement de recul, elle eu la délicatesse de s'arrêter et de me laisser suffisamment respirer. Même en m'ouvrant le plus possible, les seins en feu et la bouche sèche du membre de Bruno qui m'étouffait, tout ce que je désirais si profondément, la lente poussée continue du gode jusqu'à la garde m'enflamma le ventre. Elle resta un long moment au fond de moi, collée dans mon dos à me caresser mes cuisses gainées de nylon noir, mes chaussures, mes dessous, mes seins en complicité avec Bruno, mon sexe recroquevillé dans le string rose, et me parler en même temps. Elle se retira dans la douleur et revint à nouveau, encore lubrifiée à ma demande. Elle prit étonnamment vite sa place et le plaisir m'inonda progressivement. Je du encore accorder les rythmes différents de ces deux membres qui coulissaient dans mes orifices avant de m'abandonner complètement et de me laisser enfin bercer longuement dans cette béatitude féminine purement jouissive d'être enfin comblé que je désirais tant. Les ondes de plaisir se succédaient dans tout mon corps. Je ne sais plus combien de temps après, j'entendis Bruno me dit qu'il allait jouir, que son plaisir allait venir, qu'il se demandait quoi faire. Dans un brouillard trouble, je l'invitais à se libérer, que j'attendais sa liqueur, être le réceptacle de sa jouissance, je léchais son gland luisant comme une glace fondante et savoureuse, puis l'avalais entièrement avant de le reprendre encore et encore. Je sentis à peine venir ses contractions libératoires tellement j'étais presque ailleurs et les jets de sperme sur mon palais ont glissé presque naturellement, me remplissant la bouche d'un lait suave et parfumé que j'avalais difficilement tellement ma bouche était sèche. Je l'ai gardé longtemps après, le léchant encore presque jusqu'à son repos et que je l'abandonne enfin. Ce fut le signal pour Evelyne qui sortit elle aussi de moi, laissant un grand vide dans mon ventre.

Je me relevais alors difficilement car j'avais les jambes ankylosées et debout dans la chambre, je vis Evelyne, toujours harnachée du gode-ceinture, s'allonger à coté de Bruno sur le lit et tout en me contemplant, lui demander comment il avait trouvé ça.
"Très agréable et toi ?"
"Moi aussi, j'ai pris beaucoup de plaisir à faire à Michèle ce que je n'aime pas que tu me fasses et j'espère que tu auras l'occasion de lui faire bientôt car il semble apprécier...".
Je confirmais silencieusement les propos d'Evelyne.
"Michèle, il est tard. Si tu le souhaites, tu peux dormir ici et comme nous n'avons rien de prévu demain et si tu le désires,  nous pourrions prolonger ce moment agréable... ?"
Je leur avouais que ce programme me réjouissais agréablement.
"Tu connais la maison, bonne nuit et à demain"

 Je retournais alors dans la chambre et après m'être vite déshabillé, je m'endormis très vite.

Par michel
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Mardi 23 septembre 2 23 /09 /Sep 20:56

Un joli film d'animation...

 

"Chéri(e), rends-moi mes collants" de Pauline Rolland

 

http://vimeo.com/45305116  

Par michel
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Mardi 12 août 2 12 /08 /Août 00:32

Un très beau livre...

 

"A moi seul, bien des personnages" de John Irving

 

9782021084399

Par michel
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Samedi 10 mai 6 10 /05 /Mai 00:08

Ce soir, un nouvel album très personnel dans mes dessins, mon histoire…

Par michel
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